A la recherche de témoignages sur la lecture numérique
L’éditeur littéraire numérique ONLIT se lance dans un nouveau projet en partenariat avec la librairie en ligne meslivresnumériques.be : appel à témoignages sur le livre numérique.
Le projet « I ♥ EBOOKS » souhaite regrouper des témoignages les plus divers sur la lecture numérique. Tout lecteur adepte des liseuses et des tablettes (et même des smartphones) peut participer et envoyer son témoignage avant le dimanche 4 novembre à 23h59 à l’adresse suivante : iloveebooks@onlit.net.
Les témoignages ne doivent cependant pas dépasser 5000 signes (espaces compris) et peuvent porter sur des sujets aussi divers que la première fois en numérique, le ressenti relatif à ce nouveau mode de lecture, les derniers coups de coeur ou les derniers coups de gueule. Il y a également de la place pour la fiction : par exemple des nouvelles sur le livre ou la lecture numérique.
Cette initiative débouchera sur la publication gratuite d’ici décembre 2012 d’un ebook comprenant les témoignages les plus pertinents et qui sera diffusé sur meslivresnumériques.be, dans le catalogue ONLIT BOOKS et sur toutes les plateformes de vente de livres numériques.
Des cadeaux à la clé pour les participants : des ebooks du catalogue ONLIT BOOKS et une liseuse NOOK avec l’intégralité de ce même catalogue pour récompenser le meilleur témoignage du recueil.
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— Stéphanie Michaux
Depuis quand Lettres Numériques doit-il être une rubrique d’annonces pour des recherches de manuscrits? Si Onlit est un éditeur numérique qui est réellement un expert dans son domaine, pourquoi ne sont-ils pas capables d’attirer du monde pour en discuter?
Si on donne la parole à OnLit, je pense que d’autres éditeurs mériteraient d’être beaucoup plus mis en avant…
Juste question de confort visuel : des courts textes numériques ok (pas plus de 10.000 signes, après ça devient trop long – je les imprime !) mais rien de tel que le papier (ne tombe pas en panne, portable partout – et dans sa poche ! – et surtout plus lisible sans fatiguer ses pauvres yeux, pas de risque de corruption de fichier ou de bug, conservation potentiellement plus longue). Ne suis ni une mamie ni une ado, juste une lectrice qui regrette ce faux débat : toute édition numérique devrait être doublée d’une édition papier… Mais l’édition numérique seule coûte moins cher, est plus aisée à mettre en oeuvre : c’est la facilité qui n’est hélas pas celle de la lectrice que je suis ! Maintenant si cette facilité permet de prendre plus de risques et de découvrir davantage, tant mieux ! Mais que vois-je dans le catalogue de Onlit ? Mercier, Delfosse, Coosemans, Ancion, Delperdange… Tous des pros installés, pas des oies blanches ou de nouveaux auteurs à découvrir. Le Onlit que j’appréciais du temps où le site diffusait des nouvelles tous azimuts et permettait de REELLES découvertes a bel et bien disparu en voulant devenir grand (sans l’être totalement).